Le succès entrepreneurial n'est jamais le fruit du hasard... La preuve en exemples.
L'impossible n'est qu'un objectif parmi d'autres (Steve Jobs)
« Le thème principal d'Apple, c'est que nous pensons que les gens passionnés peuvent changer le monde » affirmait le géant de l'informatique californien en 1997 dans sa campagne pub « Think different ». Un slogan qui colle parfaitement à l'état d'esprit de son cofondateur, Steve Jobs. En croyant dur comme fer à ses idées, il a fini par prouver que l'impossible était finalement... possible.
Avoir une vision (Walt Disney)
« Une personne devrait déterminer ses objectifs le plus tôt possible et consacrer toute son énergie et tout son talent à les atteindre. » Walt Disney fait partie de ceux qui pensent que la réussite d'une entreprise passe par la vision de son dirigeant. Une vision qui, par la suite, dictera les décisions du quotidien et, plus globalement, le développement de la société. Ou comment transformer une ambition en un moteur quotidien.
L'employé « Roi » (Larry Page et Sergeï Brin)
Si, aujourd'hui, de nombreuses entreprises à travers le monde possèdent des locaux colorés et offrent tous les services possibles et inimaginables à leurs employés, il y a quelques années en arrière, ce n'était absolument pas le cas. L'austérité était synonyme d'efficacité. Et puis, un jour de 1996, Larry Page et Sergeï Brin, deux étudiants en informatique de la prestigieuse université californienne Stanford, ont reçu une bourse afin de développer un système d'indexation de sites Internet baptisé Google. Pour ce faire, ils se sont installés dans des locaux fun et décontractés avec, comme priorité, le bien-être de leurs employés. 25 ans plus tard, force est de constater que ça fonctionne plutôt bien.
Les échecs ne sont que des étapes vers le succès (Mark Pincus)
Selon le magazine Forbes, sa fortune est aujourd'hui évaluée à 1,4 milliard de dollars. Pourtant, Mark Pincus, né en 1966 à Chicago (Illinois), a connu des débuts compliqués. En 1995, il crée sa première start-up, « Freeloader ». Un échec cuisant. L'année suivante, il lance « SupportSoft.com ». Nouvelle désillusion. En 2003, il fonde « Tribe.net », un réseau social dont s'inspirera un an plus tard un certain Mark Zuckerberg. Sauf que si Facebook est aujourd'hui un empire, Tribe.net a disparu des écrans de radar. Mais parce qu’il considère que les échecs sont des étapes vers le succès, Mark Pincus ne baisse pas les bras et lance en 2007 « Zynga », une société qui développe des jeux pour les réseaux sociaux. Aujourd’hui, sa capitalisation boursière est estimée à près de 4 milliards de dollars.
La mondialisation, une priorité (Mark Zuckerberg)
Il ne faut pas se contenter de réussir dans sa ville, sa région ou son pays. Il faut penser global, mondial. C'est ce que Mark Zuckerberg a toujours assuré. Difficile de lui donner tort...