Pour pratiquer la sophrologie, vous devez créer un statut juridique. Plusieurs options s’ouvrent à vous, selon le régime social et d’imposition que vous préférez.
La micro entreprise : ce statut permet de vous lancer rapidement et gratuitement comme sophrologue :
Cependant, impossible de déduire vos frais professionnels en micro-entreprise, et gare aux plafonds de chiffre d’affaires.
Il est également possible d’exercer en entreprise individuelle au régime réel.
La société (SASU/SAS/EURL/SARL) : plus lourde à créer et à gérer, la société ou la société unipersonnelle offre plus de flexibilité :
Création d’une personne morale ;
Régime d’assimilé salarié en SAS/SASU et sous conditions pour le gérant d’une SARL/EURL ;
Déduction des frais professionnels ;
Plus adaptée à l’investissement.
Un expert-comptable peut vous accompagner dans le choix du meilleur statut juridique pour le sophrologue.